Chaque entreprise a ces lois et ces principes. Lorsqu’un employé dépasse ces limites, le conseil de direction peut décider de lui imposer une mise à pied. Qu’est-ce que c’est ? Quels sont les différents types de mise à pied qu’on retrouve ? Découvrez la réponse à ces différentes interrogations à la suite de cet article.
Mise à pied : définition
La mise à pied est un terme d’entreprise qui désigne qu’une personne est suspendue temporairement de son travail. Les raisons qui peuvent pousser un employeur à prendre une telle décision vis-à-vis de son employé sont multiples. La mise à pied est envoyée sous forme la lettre physique ou de mail. Le chef d’entreprise a l’obligation de transmettre le courrier au chef du personnel. Ce dernier à son tour, l’enverra à son destinataire.
La mise à pied est possible dans une entreprise que lorsqu’elle est mentionnée dans le règlement intérieur suivit de la durée maximale. Dans le cas contraire, l’employeur n’a aucunement le droit d’appliquer cette sanction, quelle que soit la faute commise, en savoir plus sur le site entreprisea.fr.
Quels sont les différents types de mise à pied ?
Il existe deux types de mise à pied. La forme conservatoire et la forme disciplinaire. Le premier désigne une mise à pied dans l’attente d’un licenciement. Elle est déclenchée lorsque l’employé commet une faute grave et que la direction de l’entreprise décide de le garder hors des locaux de la société en attendant d’organiser son renvoi.
La mise à pied disciplinaire est quant à elle moins radicale. En effet, il s’agit d’une forme de sanction qui vise à expliquer à l’employé que sa faute est trop grave pour passer inaperçu, mais qu’il ne mérite pas un renvoi définitif.